“L’atelier a pour but global de mettre en commun les résultats et recommandations de l’évaluation mi-parcours de l’ACSOL, de s’approprier les recommandations et de poser les jalons du futur programme à partir de 2025”.
Les réflexions permettront aussi de renforcer les liens entre les partenaires ouest-africains, de formuler un programme commun dans lequel chacun pourra mettre son projet en vue de la préparation de la note conceptuelle ACSOL 2025-2029.
Pour Afeto SENA, responsable projets Afrique de l’Ouest de l’organisation Luxembourgeoise Action Solidarité Tiers Monde, le renforcement de capacités est un levier indispensable afin de positionner les acteurs de la société civile en tant que référence sur des thématiques précises pour que les projets déployés aient plus d’impacts.
En terme de résultats, nos organisations partenaires sont devenus aujourd’hui des références dans les deux pays et ils ont cette notoriété qui permet de faire avancer les projets et d’avoir plus d’impacts pour la promotion des femmes et la sécurité alimentaire », ajoute-t-il.
Pour les organisations partenaires, ces trois jours de réflexions sont une excellente opportunité pour définir un programme d’action commun qui répond au mieux aux défis des différentes communautés représentées.
Il faut retenir que, pour ASTM, la finalité n’est pas de sortir de cet atelier de réflexion avec une feuille de route du programme prochain mais de corriger ce qui peut être corrigé et de recueillir les différents besoins et perspectives des partenaires de l’Afrique de l’Ouest.
Pour rappel, ASTM est une ONG de droit luxembourgeoise qui travaille avec plus d’une dizaine d’organisations de la société civile en Afrique de l’ouest notamment : ARFA-CNABio-CTPA du Burkina Faso ; GEMESA-CIDAP-INADES Formation Togo-CADR-SALUT du Togo.
Faustin BEDA